Oui effectivement on me colle souvent une étiquette,

Qui je trouve n'est pas nécessaire ,

Que je ne suis pas pareille,

Et qui n'est surtout pas essentielle ,

Puisque je suis devenue une étrangère,

Je passe facilement les frontières,

Et je saute encore les barrières ,

À parir de ce moment là vous ne voyez pas très clair,

Ou alors vous êtes sur le point observe et de se taire ,

Puisque je vous dis que je ne suis pas nette ,

Pourquoi vous insistez de l'admettre ,

Ou de me dire que je suis vieille ,

Mais vous marchez à l'aveuglette ,

Ou alors vous avez besoin de lunette ,

Ou vous avez du soleil ,

Sur le visage mettez une casquette ,

Après vous pourriez juger et revenir en arrière,

Sur des propos qui ne sont pas très chouettes,

Des erreurs il faut les reconnaitre,

Mais en faire une telle brochette ,

Et je suis sincère mais pas malhonnête !

Comme certains peuvent dire que je suis grossière,

C'est de votre part de la maladresse,

Mais de le dire et de le commettre ,

Vous vous trompez d'adresse,

Mais je ne sais pas ce qui se passe dans votre tête ,

Vous êtes à prendre avec des pincettes,

Ne sachant pas dire bonjour avec la bouche ouverte ,

Et simplement vous osez faire un signe je suis désolée ,

Mais moi personnellement je ne sais à qui cela s'adresse !

Maintenant si vous vous prenez pour une vedette !

Autant le dire ou alors vous avez une double facette !

Mais vous pourriez lui faire des courbettes ,

Car ce monsieur qui le reçoit est mal à l'aise ,

Mettez vous à sa place ce n'est pas une aubaine ,

Mais je ne vous ai pas vu en haut de l'affichette ,

Ou au sommet de la gloire ou sur une gazette !

Et ni sur la croisette !

Alors que pourriez vous me dire à cette causette !

Rien parce que vous vous ridiculisez devant ce geste ,

Qui est certes loin d'être de la politesse,

Envers une personne familière ,

Moi à côté je suis une princesse,

Ah! non c'est vrai je suis une littéraire ,

J'oubliais de le dire ce mot il est d'une finesse,

Que moi-même j'ai du mal à me le mettre ,

Il faut dire que ça vient d'une personne intellectuelle ,

Oui lui il a fait des études primaires élémentaires ,

Comment je peux juger cette personne par une dette

Qui est un mot peut ordinaire enfin j'abrège  ,

Car il me semble qu'il va prendre la mouchette ,

À moins qui ne puisse pas le comprendre ce terme,

Car ce n'est pas très courant dans le dictionnaire,

Oui celui des ancêtres il existe mais de façon muette …..

Je me suis collée une étiquette ,

Et vas y pour la défaire ,

Mais elle est claire et nette,

C'est vrai que je ne peux être satisfaite ,

Mais c'était un certain bien être ,

À une époque là je me renouvelle,

Et je vais me construire un look d'enfer,

Je vais être plutôt chouette ,

Oui avant j'étais souvent en détresse,

Là il faut que je change d'adresse,

Il faut que je l'admettre ,

J'habitais près d'une fontaine,

Maintenant je vais être près d'une rivière,

L'eau y sera plus claire,

Et si toutefois ça me gêne ,

Je vais aller vers la mer,

C'est un autre domaine,

Mais j'ai aussi la maison de l'étang,

Mais elle reste étrange,

Un souvenir d'enfance,

Qui me laisse bien indifférente ,

Oublions allons au lac Clément,

Là nous pouvons y aller que le dimanche,

Les autres jours il est en dérangement ,

Il va falloir y aller absolument …………….

Quand l'épreuve s'abat sur toi,

Et te terrassant par sa victoire,

Mais si elle t'écrase par ta loi,

Tu n'as plus de pouvoir,

Même si tu semble être le plus fort,

L'autre va perdre tout son espoir,

Et si tu as tout essayé,

Mettant en œuvre tout ton savoir,

L'autre restera figer,

Et ça sera le désespoir total,

Et le temps semble l'abandonner,

Mais toi tu vas le rattraper,

Mais tu vas broyer du noir,

Comment seras tu apaisé,

Tu te mettras à boire ,

Mais après il a raisonné,

Et il ne peut concevoir,

Que tu as brisé sa vie ,

C'était sa force et son pouvoir,

Et maintenant il lutte et n'a plus envie ,

Car il n'aime plus tous ces défis,

Et pour lui c'est la ruine,

Il finira par plus rien savoir ,

Il aimera plutôt mourir,…………….

Pour oublier ce qu'il a fait

Tu nous effraies par ton regard ,

Car tu es toujours vêtue de ce noir,

Il est dur et sans pitié,

Mais nous reviendrons plus tard,

Pour voir si cette femme en noir,

A pu laisser tomber cette couleur,

Qui je dois dire ne fait pas le bonheur,

De certains quand ils vont la rencontrer ,

Ils auront des choses à marquer ,

Dans le cahier prévu à ce fait,

Des mots qu'ils vont imaginer,

Car ils ne connaissent cette dame de ce foyer,

Ils savent quelle était abandonnée et après !

Ils vont certainement inventer ,

Et broder pour remplir les pages,

Qui seront plus ou moins illustrées ,

Car elle avait laissé des traces,

Enfin toutes sortes d'images,

Peut-on encore imaginer cette fin tragique,

Mais elle était vraiment triste,

Quand je l'apercevais ,

Elle n'avait pas bonne mine,

Elle se sentait fatiguer et user,

Par ce dur métier quelle faisait,

Maintenant elle repose en paix,

Et nous devons encore y penser,

Elle a faisait du bien quand elle travaillait,

On ne peut guère l'oublier ,

Ça serait dommage car cette personne vivait

Et elle donnait tout par pitié,

À tous les gens qui vivaient dans la pauvreté …….

L'amitié est le vrai bien du sage,

Alors à partir de ce moment là qu'on le partage,

Ce n'est pas le nombre d'ami qui compte,

Mais seulement la qualité,

Seule les chiffres parlent et témoignent,

Mais pour moi l'amitié je ne veux pas la définir comme ça,

Ça quand même une valeur importante,

Mais pour vous c'est le nombre qui parfois encombrant,

Car je n'en n'ai guère dans ce cas là,

Et pour moi une amitié se partage,

C'est mon seul témoignage,

Si la façon dont je me comporte,

Cette chose vous insupporte ,

Eh! bien vous passez cette porte ayez le courage,

Mais pour moi cette amitié est un peu volage,

Personne ne vient lire sur ma page,

Et pourtant c'est un lien,

Qui peut procurer que du bien,

C'est un genre d'assemblage,

Et la raison l'envisage,

Mais l'amitié pour moi est un paisible ombrage,

Alors je fais beaucoup de ravage,

Sur votre passage,

Et quand le cœur est constant ,

Son lustre est plus brillant ,

Et rien ne viendra ternir cette image,

Et pourtant l'amitié est une preuve de confiance,

Mais là je constate que c'est la méfiance,

Sans nul désir de reconnaissance,

À  quoi bon d'écrire les plus belles confidences,

Car le temps est entrain de fuir,

Et vous ne savez pas lire ,

Mais l'amitié est sincère ,

Je suis peut-être trop brève ,

Mais vous me paraissez bien cruel,

Car c'est souvent la vérité ,

Il va falloir que je l'achève ,

Ça m'attriste et c'est bête,

Mais au fur et à mesure de cette carrière ,

Je sens que je penche vers un déclin,

Et tant d'amis restent en arrière,

Ou alors ils s'écartent de mon chemin,

Mais pourquoi faire,

Je suis trop sincère et fidèle ,

Pourtant la vérité est fraiche,

Et je suis éprouvée par cette tempête ,

Qui vient de la haine

Quoique je je dise ou que j'intervienne,

Je pense que la vérité qui est bien sincère,

Ça je peux l'admettre vous blesse,

Et tout le reste s'enchaîne ,

Et moi je me déchaîne ……………..